❝ Lula d. Priestley ❞
AVATAR : Michelle Trachtenberg
AGE : Vingt-et-un ans.
MULTINICKS : Non
METIER : Serveuse en boîte de nuit.
CITATION : « God loves violence. » shutter island
MESSAGES : 97
CREDITS : avatar; Shiya ••• gif; Crazy Bunny
Age : 30
|  Sujet: Life goes on. Dim 17 Avr - 20:04 | |
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We are young, there is too many temptations.
 Un nouveau départ, une nouvelle vie. C'est étrange pour moi, de me dire que désormais, je ne vivrais plus en Floride. J'ai toujours habité chez mes parents, dans leur villa à Miami. Mais maintenant que j'ai vingt-et-un ans, il faut bien voler de mes propres ailes un jour. C'est donc avec un compte en banque bien rempli, toutes mes affaires fétiches, et mon sac à main préféré que je suis allée vivre à NYC. L'avantage, c'est que je n'ai pas eu à supporter des adieux déchirants, des amis en pleurs à l'aéroport... j'en ai pas. Ma nouvelle vie commence, et je n'ai aucun remords d'avoir quitté Miami. Personne pour m'envoyer des textos à deux balles, m'avouant combien je manque là-bas, ou bien me demandant quand est-ce que je reviens. Il ne me manque qu'une chose pour être totalement bien : un chien. J'irais au refuge demain.
Le soleil était à son comble, bien présent pour un mois d'avril. J'ai mis une de mes tenues fétiches : mon slim noir effet cuir, un pull large volé à un de mes ex, qui dévoile mes jolies formes, une paire de bottines à talons hauts, et mon gros sac à main, dans lequel je trimbale toute ma vie. D'ailleurs, j'en sors ma paire de lunettes de soleil, et je les mets sur mon nez. Devant moi, environ à vingt mètres, je vois un banc vide. Je m'en approche de ma démarche féline, la tête haute, la poitrine bombée, et les hanches balançant d'un côté et de l'autre. Je sais qu'on me regarde, et c'est tant mieux. Arrivée à hauteur du banc, je ralentis l'allure, pour finalement m'arrêter, et poser mon cul sur le métal. Le contact froid me fait frissonner. Tant pis. Je fouille une nouvelle fois dans mon sac, et en sort un paquet de Marlboro. Je coince une cigarette entre mes lèvres, et cherche alors mon briquet. Bon sang, où est-ce qu'il est ? En même temps, c'est pas comme si mon sac était rangé... Des billets, mon porte-monnaie, des tickets de caisse, des pièces, des papiers de bonbons, du vernis, des lunettes, mon portable, iTouch... c'est un sacré bordel ! Et pour l'instant, impossible de trouver ce putain de briquet. Je lâche un soupir bruyant.
« Putain mais c'est pas possible ! » je dis pour moi-même.
Je bouillonne. C'est pas vrai Lula, t'es vraiment un boulet comme meuf... C'est bon, il doit pas être loin, tu l'as pas mangé ce briquet ! Mais j'ai beau fouiller, vider mon sac, le retourner dans tous les, impossible de mettre la main dessus. Je suis sûre que je l'ai laissé chez moi... Je tourne alors la tête, en quête de quelqu'un qui pourrait résoudre mon problème. |
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